jeudi 12 octobre 2017

Libre d'apprendre BLOG32 : Notre merveilleuse enfance, à moi et Hillary Clinton.

Résumé :
  • Cette article décrit les changements qui se sont réalisé ces dernières décennies dans le rôle parental.
  • Constat : Les personnes qui ont eu une enfance au milieu du vingtième siècle ont joui d’une plus grande liberté que les enfants d’aujourd’hui.
  • Exemple : Hillary Clinton se souvient de la grande importance du jeu libre non structuré en grandissant parmi les enfants de son voisinage autour des années 50.
  • Des exemples de ma propre enfance et de la confiance de mes parents :
    • La liberté d’apprendre et de faire du vélo dans ma ville et autour avec une amie, à l’âge de cinq ans.
    • Une organisation par les enfants de la ville d’une compétition de baseball, et ma gestion en tant que capitaine de 9 ans de mon équipe de ligue.
    • À l’âge de 10 et 11 ans, je participais à des expéditions sur le lac, de pêche par beau temps, de patinage l’hiver. J’étais aussi seul responsable de l’impression du journal pour aider mes parents fatigué.
    • Ces exemples montre de l’importance qu’à eu la liberté pour l’apprentissage de la responsabilité de soi lorsque nos parents nous ont fait confiance.

Notre merveilleuse enfance, à moi et Hillary Clinton.

Hillary et moi avons appris la responsabilité car nos parents nous ont fait confiance.

Dans mon dernier article, j’ai parlé du changement historique du rôle parental tout au long de l’histoire humaine. J’ai décrit la confiance parentale ches les chasseurs-cueilleurs, le rapport parental de contrôle-dominateur de l’époque médiévale et des débuts de l’industrialisation ainsi que la relation parentale contrôle-protecteur de notre culture aujourd’hui. Ce que je n’ai pas précisé c’est que ce rapport parental de contrôle-protection est un développement très récent. Dans cet article je vais décrire maintenant le changement historique qui s’est réalisé ces dernières décennies.

Les soixante premières années environ du vingtième siècle, peut-être plus particulièrement aux États unis et en europe occidentale, ont été une période d’expansion de la liberté des enfants. Les adultes comme les enfants ont gagné plus de temps libre tandis que les syndicats ouvriers ont aidé les travailleurs à réduire les semaines de travail et à faire baisser le travail des enfants. Le rôle parental devint alors plus libéral et libérateur qu’il n’avait jamais été, moins orienté vers un entrainement qui ne demanderait que l’obéissance. Les années 50 et 60 étaient d’une certaine façon un âge d’or pour l’enfance. Les personnes de mon âge, dont moi-même, sont, souvent pour de bonnes raisons, nostalgique à propos de la liberté dont ils ont joui, ce qui contraste avec les vies particulièrement controlées des enfants aujourd’hui.

L’enfance d’Hillary Rodham Clinton

Une de ces personnes nostalgique est Hillary Rodham Clinton. Voici par ses propres mots, la description de son enfance et de ses regret à l’égard de la vie des enfants d’aujourd’hui. [1]
« Je suis née à Chicago mais j’ai déménagé à Park Ridge dans l’État de l’Illinois à l’âge de 4 ans où j’ai grandi. Il s’agissait d’une banlieue typique des années 50. De grands ormes alignés le long des rues se rencontraient à leurs sommets comme la voute d’une cathédrale. Les portes restaient ouvertes et les enfants faisaient des allées et venues dans chaque maison du voisinage.

« Nous étions une société d’enfants bien organisée et nous avions toutes sorte de jeux, nous jouions toute la journée après l’école, tous les week ends et à partir de l’aube jusqu’à ce que nos parent nous fasse rentrée aux premières obscurités des soirs d’été. Un jeu s’appelait chasser et courir qui était une sorte de combinaison complexe entre le cache-cache et le jeu du loup en équipe. Nous faisions des équipes et nous dispersions dans la totalité du voisinage sur une zone d’environ 2 ou 3 patés de maisons, nous désignions des lieux sûrs où l’on pouvait prendre refuge si l’on était chassé. Il y avait aussi un moyen de se libérer après une capture afin de retourner dans le jeu. Comme tous nos jeux, les règles étaient élaboré et elles étaient martelé lors de longues consultations dans un angle de rue. C’était ainsi que nous passions des heures innombrables. ...

« Nous avions tellement de temps de jeux imaginatif dans des temps d’amusement non structurés. J’ai eu une merveilleuse enfance à être à l’extérieure à jouer avec mes amis, à me débrouiller seule et à simplement aimer la vie. Pour moi, être une enfant à l’école primaire fut génial. Nous étions tellement indépendant, nous avions tant de liberté. Mais il est aujourd’hui impossible d’imaginer donner cela à un enfant aujourd’hui. C’est une des grandes perte de la société. Mais j’ai l’espoir que nous retrouvions la joie et l’expérience du jeu libre en grandissant dans son voisinage que ma génération considérait comme acquis. Ce serait le plus beau cadeau que nous pourrions faire à nos enfants.

Quelques fragments de mon enfance

J’ai, moi aussi, de merveilleux souvenirs de mon enfance. En voici quelques exemples.
J’ai principalement grandi dans des petites villes du Minnesota et du Wisconsin. Ma mère était une personne aventureuse, toujours à la recherche de nouveaux boulots et de nouveaux défis, et c’est pourquoi nous déménagions souvent lorsque j’étais enfant. Chaque ville où nous vivions était empreinte de sa propre culture d’enfant, et mon grand défi personnel, à chaque déménagement, était d’apprendre à faire de mon mieux ce que les enfants de cette ville faisaient pour m’intégrer au mieux au groupe social. Voici quelques souvenirs de trois villes différentes :

Monterey dans le Minnesota : La liberté de faire du vélo à l’âge de cinq ans

À peu près aux alentours du passage de mes cinq ans, ma famille déménagea dans une ville appelée Monterey qui se trouve à la frontière sud du Minnesota. Aujourd’hui, Monterey n’existe plus, elle a fusionné avec Triumph, la ville voisine pour former une nouvelle ville, Trimont. Mon souvenir le plus marquant est celui qui concerne ma pratique du vélo. Ma meilleure amie était Ruby Lou, une fille plus âgée que moi d’un an et qui vivait de l’autre côté de la rue. Lorsque j’avais cinq ans et qu’elle en avait six, elle m’apprit à faire du vélo avec le sien. C’était un vélo sans petites roues stabilisatrices. La rue qui séparait nos maisons se trouvait sur une petite colline et elle me montra comment faire du vélo en descente était la meilleure manière d’apprendre. Je pouvais enjamber le vélo, donner une poussée avec mon pied et descendre la vallée avec suffisamment de vitesse pour rester stable et ensuite je pouvais pédaler une fois arrivé en bas pour pouvoir continuer à avancer. Le long de ce processus j’eus plusieurs fois mon genou écorché et le vélo de Ruby Lou prit quelques chocs mais au bout de quelques jours, lorsque mes parents virent tout cela, ils m’achetèrent mon propre vélo.

Le vélo, à l’addition de la confiance de mes parents et de l’amitié de Ruby Lou, me donna la liberté. Je pus, à l’âge de cinq ans, faire du vélo dans toute la ville et ses environs. Mes parents ne me donnèrent qu’une seule règle, qu’où que j’aille, je sois avec Ruby Lou. Elle était plus âgée et sage que moi et connaissait son chemin. Je n’ai pas discuté la règle. J’aurais certainement été trop éffrayé d’aller loin sans Ruby Lou de toute façon. Quelles aventures nous avons eu, Lou et moi sur nos vélos, à découvrir et explorer de nouveaux lieux à l’intérieur et autour de Monterey.

Sun Prairie dans le Wisconsin : La gestion de mon équipe de petite ligue à 9 ans

Entre l’âge de 7 et 10 ans, j’ai vécu à Sun Prairie dans Le Wisconsin. J’ai appris qu’aujourd’hui Sun Prairie est une banlieue en croissance de Madison, mais lorsque j’y ai vécu dans les années 50, il s’agissait d’une petite ville entourée par un grand nombre de champs de maïs qui la séparait de Madison. Les enfants à Sun Prairie participaient à de nombreuses activités qui étaient des nouveautés pour moi. Par exemple, j’ai appris avec mes nouveaux amis à fabriquer et à faire voler un cerf-volant. Nous organisions des compétitions de cerf-volant avec comme seule règle que le cerf-volant soit construit à partir de zéro sans utiliser de kit préfabriqué. Aujourd’hui on imagine souvent que les parents aideraient leurs enfants à construire des cerfs-volants mais ce n’était pas le cas à cette époque. Nous, les enfants les plus jeunes, apprenions comment faire de nos amis les plus âgés et expérimentés et par la suite nous y apportions nos propres améliorations. Nous avions la chance d’avoir des morceaux de bois gratuitement auprès de la scierie locale pour faire la structure (parfois nous demandions, mais parfois non). Certains enfants faisaient des cerfs-volants remarquables comme je n’en vois plus guère aujourd’hui.

Mais bien plus que les cerfs-volants, Sun Prairie était, pour les garçons, une ville faites pour le baseball. Tout le voisinage était rempli de terrain vacant et sur chacun de ces terrains vous pouviez trouver des enfants jouant au baseball tout l’été et après l’école à l’automne et au printemps. Le baseball est rapidement devenu ma passion. Comme un grand nombre de mes amis, j’étais certain qu’en grandissant je serai devenu un joueur de baseball professionnel. Nous écoutions tous à la radio les matchs des Braves de Milwaukee et nous collectionnions et échangions les cartes de baseball. À une époque où il n’y avait pas de calculatrice, les enfants qui avaient pourtant du mal à faire des divisions à l’école, n’avaient aucun problème pour calculer les moyennes des batteurs.

La plupart de nos matchs de baseball se déroulaient de manière informelle avec tous ceux qui venaient sur le terrain. Mais à Sun Prairie nous avions aussi notre petite compétition de ligue. J’utilise le mot petit dans « petite ligue » parce que je ne pense pas que nous étions liés à une quelconque ligue officielle mais c’était ainsi que nous l’appelions. Notre petite ligue n’avait pas l’implication d’adultes comme on pourrait le voir aujourd’hui. Un superviseur de jeu démarrait la compétition chaque année au printemps, mais en dehors de cela, elle était gérée entièrement par les enfants. Voici comment ça marchait :

Un certain jour de printemps, les enfants d’une certaine tranche d’âge qui souhaitaient être dans la ligue devaient se rendre un parc principal de la ville. Nous nous montrions généralement en groupes, des groupes d’amis qui jouaient déjà ensemble sur les terrains vacants. Les groupes se désignaient eux-même en équipe et les enfants qui ne faisaient pas parti d’un groupe étaient ajoutés aux équipes par le superviseur de jeu. Chaque équipe élisait un capitaine qui serait le contact avec le superviseur et qui serait le gestionnaire officiel de l’équipe. Ensuite le superviseur planifiait les matchs de manière à ce que chaque équipe joue les unes avec les autres un certain nombre de fois au cours de l’été. À chaque match un enfant du lycée servirait d’arbitre. Et c’est tout. En général, aucun adulte n’assistait aux matchs. S’il y avait un public c’était généralement les enfants les plus petits qui espéraient nous remplacer si l’un d’entre nous se blessait ou devait partir plus tôt pour une quelconque raison. Une ligue similaire de softball était organisée pour les filles.

Les matchs de ligue étaient très excitants pour nous, parce qu’ils étaient à une étape au-dessus de formalité, des jeux amateurs que nous pratiquions la plupart du temps. Nous jouions sur un terrain qui ressemblait à un vrai terrain de baseball en diamant, avec un backstop et de vrai bases. Il y avait un arbitre qui annonçait les balles et les strikes et qui gardait le score officiel. Mais les matchs étaient aussi excitants parce qu’ils étaient vraiment à nous sans aucun adulte pour nous dire ce que nous devions faire, nous devions prendre nos propres décisions.

Quand j’étais vers la fin du 3ème niveau (CE2 en france) et venais d’avoir 9 ans, j’ai été élu capitaine de ma petite équipe de ligue. Cela signifiait que j’étais responsable de vérifier que tous mes équipiers connaissait les dates des matchs et qu’ils viendraient. (Nous nous déplacions tous en vélo. L’idée que les parents nous conduisent n’avait pas encore été inventé. Les parents ne connaissaient d’ailleurs pas les dates des matchs.) Je devais aussi déterminer les positions pour chaque match. Ce qui était le plus difficile était de choisir qui serait le lanceur. Nous avions un bon lanceur et plusieurs autres qui pensait être de bons lanceurs. Je devais faire des compromis pour laisser notre bon lanceur lancer et être assez souple pour laisser les autres lanceurs lancer de temps en temps. J’étais le gestionnaire mais j’avais très peu de pouvoir parce que les joueurs s’en allaient s’ils n’étaient pas contents et nous devions garder un certain nombre de joueurs pour garder une équipe. Ce qui fait qu’un grand nombres de discussions et de compromis devaient être fait pour chaque placement de chaque match.

Pouvez-vous imaginer aujourd’hui laisser un enfant de 9 ans la charge d’une équipe de petite ligue de baseball ? Le fait que vous ne pouvez pas l’imaginer est à la mesure du degré auquel, nous en tant que culture avons perdu le respect des compétences des enfants. Ce n’était pas seulement moi, toutes les équipes étaient dirigées par un enfant. Toute la ligue était fondée sur la prémisse que les enfants souhaitez jouer au baseball organisé d’une telle façon qu’ils prenaient la responsabilité de le rendre possible. Et ça marchait ! Si ce n’était pas le cas, cela voulait simplement dire que les enfants avaient perdu leur intérêt pour le baseball et c’était aussi ok.

Hill City au Minnesota : La pêche, le patinage et tenue d’une presse écrite à l’age de 10 et 11 ans

Lorsque j’avais 10 ans nous avons déménagé à Hill City, une petite ville sur le bord d’un grand lac dans le nord du Minnesota, où j’ai passé les deux années de mon enfance les plus glorieuses. Nous étions plutôt pauvres quand nous vivions à Hill City car mes parents avaient dépensé toutes leurs économies en achetant la presse et l’imprimeur local. Ma mère a toujours voulu diriger un journal et ce fut sa chance. C’était à une époque où les petits journaux locaux faisaient faillite partout et le Hill City News était lui aussi sur le point de disparaître. Toutefois ma mère espérait pouvoir le relancer. Nous vivions dans une maison que mes parents avaient achetée pour 2000$, elle était assez grande pour nous sept mais elle n’avait pas de salle de bain intérieure. Pouvez-vous imaginer une dépendance extérieure dans le Minnesota ? Nous gelions aux toilettes en hiver. Nous prenions des bains tous les samedis soir dans une baignoire en étain au milieu de la cuisine. Ce n’était pas rare à Hill City en 1950. Certains de mes amis vivaient vivais aussi sans salle de bain intérieur.

La vie des enfants à Hill City était centré sur le lac. La pêche remplaça rapidement le baseball comme passion. Un jour d’été typique mes amis et moi-même prenions nos vélos chargés du matériel de pêche jusqu’au lac ou à la rivière qui l’alimentait, attrapions des grenouilles ou des ménés comme appâts et passions la journée entière à pêcher. Parfois nous pêchions à partir d’un quai ou du rivage et parfois nous sortions le vieux bateau à rames qui semblait être, pour les enfants de la ville, une propriété communale. Nous étions tous de bons nageurs si bien qu’aucun de nos parents n’était inquiet à l’idée que nous puissions nous noyer. Nous ramions des kilomètres pour tester de nombreux emplacements pour pêcher. Je devins un bon pêcheur, pêchant pratiquement que des pomoxis, des piques du nord et des bars, et parce que nous étions pauvres, ma famille appréciait vraiment le poisson que je ramenais à la maison. Une règle à la maison était que celui qui avait attrapé le poisson était celui qui devait le vider.
En hiver nous patinions sur le lac. Si la neige était profonde, nous pelletions notre propre patinoire. Nous utilisions généralement nos patins le soir et nous faisions un feu pour nous éclairer et nous tenir au chaud. Le deuxième hiver où nous vécurent là, la neige était assez légère et le vent assez fort pour permettre le déneigement du lac gelé pendant plusieurs semaines au début de l’hiver. Nous en profitions alors pour faire des voyages sur la longueur du lac (il faisait plus de cinq kilomètres). Nous prenions nos repas avec nous et allumions des feux pour nous reposer et manger. Parfois nous collections aussi des pommes de pin sur les îles du lac que nous ramenions à la mère d’un de nos amis pour faire des couronnes de Noël.

Un dernier souvenir d’Hill City que je souhaiterais transmettre concerne le fait que je me suis occupé de la presse d’imprimerie. Le Hill City News était un journal hebdomadaire et il était imprimé tous les Jeudis. Mes parents restaient souvent debout toute la nuit pour terminer avant la date limite, le jeudi matin, ils me demandaient de me lever pour aller faire tourner l’imprimerie le temps qu’ils fassent une sieste matinale. J’étais fier, à l’âge de 10 et 11 ans, que l’on me fasse confiance pour faire tourner seul l’immense, et peut-être dangereuse, imprimerie. Je devais fournir en papier à la main, une feuille après l’autre et restant à l’allure de la vitesse d’opération de la presse. Je me sentais important, toute la ville attendait le News que j’étais en train d’imprimer. Ça n’avait pas d’importance que je loupe l’école les jeudis matin quand je m’occupais de l’imprimerie. Cela n’avait pas d’importance pour mes parents, mon instituteur ou le principal de l’école. Tout le monde savait que j’apprenais bien plus en faisant tourner l’imprimerie que ce que j’aurais appris pendant toutes ces heures d’école.

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J’ai raconté ces histoires à mon propos et à propos de mes amis mais les véritables stars étaient nos parents et les autres adultes de la communauté qui étaient suffisamment sages pour nous faire confiance et rester à l’écart de nos vies plutôt que d’intervenir au premier plan. Grâce à une telle confiance nous avons eu des enfances pleine d’aventures et, de chacune de ces aventures, nous avons appris. La leçon la plus importante que nous ayons apprise, qui est aussi la leçon la plus importante que tout le monde apprend, était comment avoir la responsabilité de soi-même. C’est une leçon qui ne peut pas être enseigné. Elle doit être apprise par chaque personne et cet apprentissage demande de la liberté, ce qui inclut la liberté de faire des erreurs, d’échouer et même parfois de se blesser.

Qu’en est il de votre enfance ? Quels souvenirs avez-vous d’aventures qui sont interdites par la plupart des parents aujourd’hui ? Et quelles idées avez-vous pour faire revivre votre liberté d’enfant ? J’apprécierai de connaître vos pensées et vos histoires dans les commentaires ci-dessous. La semaine prochaine je continuerai le sujet de la confiance parentale en soulignant les forces qui en ont causé le déclin récent et je proposerais des routes possibles pour la revitaliser.

[1] 
La citation est d’Hillary Rodham Clinton’s “An Idyllic Childhood,” dans son livre S. A. Cohen (Ed.), The Games We Played: A Celebration of Childhood and Imagination. Simon & Schuster, 2001.


Publié le 22 Juillet 2009 par Peter Gray et traduit par Michaël Seyne le 29 Septembre 2017

source : https://www.psychologytoday.com/blog/freedom-learn/200907/hillary-clinton-s-and-my-wonderful-childhoods


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